Beaucoup de poésie, de la provocation et de l’impudeur
Titre
Lysistrata, pièce d'Aristophane
Résumé
Fable comique sur le pouvoir, la guerre et l'égalité des sexes écrite en 411 avant Jésus-Christ.
Alors qu’Athènes et Sparte sont en guerre, Lysistrata, une belle Athénienne, aussi rusée qu'audacieuse, convainc les femmes d'Athènes — Cléonice, Myrrhinè, Lampito — ainsi que celles de toutes les cités grecques, de déclencher et de poursuivre une grève du sexe, jusqu'à ce que les hommes reviennent à la raison et cessent le combat.
La pièce montre le rôle que les femmes peuvent avoir dans la société et la façon de faire de la politique, mais aussi le rôle qu’elles ne jouent pas car leurs avis sont ignorés. Toutes les questions politiques sont considérées uniquement du point de vue des hommes. Voir notamment les dialogues entre Lysistrata et le Magistrat qui vient tenter d’intimider les femmes et les empêcher de réaliser leurs plans.
Aristophane se plaît ici à mêler les conflits de l’État aux détails les plus intimes de la vie quotidienne, résolvant une crise politique des plus graves par la comédie la plus licencieuse, et usant avec bonheur de tous les clichés de la guerre des sexes[
Metteur en scène
Philippe Jeanloz
Distribution
Dominique chabloz, Valérie Chappuis, Mélanie Henriot, Martine Martins Vincete, Kamila Mazzarello, Karin Pingoud, Sylviane Thilo, janine Walter, Véronique Walther, Samantha Walti.
Nicolas Anderegg, Jean Cevey, Bernard Gagax, Claude Henriot, Jonatas Martins Vincete, Andrea Sekva.